Vous visitez le site Web Canada Kee Safety depuis United States. Voulez-vous aller sur le site de {l'autre pays} ?
Cet article a été rédigé en partenariat avec Canadian Occupational Safety.
Des toits, il y en a partout. Nous vivons et travaillons au sein de structures qui nous protègent des éléments. Mais outre le fait qu’ils sont généralement situés en hauteur, les toits peuvent présenter de nombreux autres risques, et il est important de comprendre quels sont ces risques et comment les maîtriser. Une vérification sécuritaire des toits permet d’identifier les dangers potentiels et de trouver des solutions de prévention.
« Nous avons toutes et tous la responsabilité de veiller à ce que les personnes qui visitent nos installations ou celles qui pourraient y travailler soient en sécurité », déclare Nick Bixcul, responsable des solutions stratégiques chez Kee Safety, « et l’étude de sécurité des toits constitue le meilleur point de départ. »
Il s’agit d’une première étape cruciale pour assurer la sécurité de toutes les personnes travaillant sur un toit, et elle fait partie du guide complet sur la protection contre les chutes sur les chantiers de construction. Mais les travailleurs de la construction ne sont pas les seuls à effectuer des travaux sur les toits. Les unités de chauffage et de climatisation sont souvent installées tout en haut des bâtiments et nécessitent un entretien régulier. Les plombiers, les électriciens, les concierges et les autres membres du personnel d’entretien peuvent également être amenés à travailler sur les toits des structures.
Selon Bixcul, la priorité des études de sécurité sur les toits concerne les points d’accès et d’évacuation, qui peuvent parfois représenter le plus grand danger parce qu’ils sont utilisés très fréquemment. « En général, c’est l’élément le plus important que nous examinons dès le départ. » À quoi ressemble l’accès? À quoi ressemble l’issue? Et dans quelle mesure est-il sûr de monter sur le toit? »
La prochaine étape consiste à déterminer quelles sont les voies de passage critiques. Bixcul affirme que les systèmes CVC sont parmi les éléments qui nécessitent le plus d’interventions sur les toits.
« Nous voyons ces systèmes comme un risque supplémentaire, car on sait que des travailleurs vont devoir accéder au toit pour des travaux d’entretien ou des réparations, mais pour une raison quelconque, ces unités sont toujours installées très proches du bord du bâtiment. »
Les échelles et les trappes d’accès non protégées sont un autre danger typiquement identifié lors des études de sécurité sur les toits. Ces installations devraient être entourées de garde-corps et de portillons de sécurité, mais d’après Bixcul : « 99 % du temps, ces installations ne sont pas protégées. »
Ce sont les types de dangers qui se cachent sur les toits, mais il y a autant de situations que de structures différentes. C’est pourquoi Bixcul insiste qu’il est important de travailler ensemble pour arriver aux meilleures solutions : « C’est une conversation initiale très collaborative. »
Une partie de la discussion comprend la définition d’un budget et l’élaboration d’un plan adapté à ce dernier qui peut être présenté aux inspecteurs. Kee Safety propose également des produits qui ne risquent pas de perforer les toits, ce qui peut provoquer des fuites ou annuler des garanties.
Bixcul ajoute que l’un des choix les plus populaires pour la protection des toits est le système de contrepoids Kee Guard. Ce système ne requiert aucun point d’attache.
« Il se pose sur le toit, et rien ne pénètre la membrane du toit. Et le fonctionnement du système est très facile à comprendre. Il suffit de le poser. Et il permet de protéger les personnes qui viendraient à tomber dessus. »
Mais l’objectif d’une étude de sécurité de toit n’est pas de vendre des produits, explique-t-il. Il s’agit simplement de travailler ensemble pour atteindre un plus grand niveau de sécurité. « Le travail principal de Kee Safety est de séparer les personnes des dangers. De s’assurer que tout le monde rentre chez soi sain et sauf. »
Une solution complète pour les toits doit respecter la hiérarchie de la protection contre les chutes. Un expert commence par inspecter le toit pour détecter les risques de chute potentiels. Il établit ensuite une solution complète avec des recommandations qui s'échelonnent sur les quatre niveaux de hiérarchie, en commençant par des approches simples et sensées destinées à éliminer les risques, puis en proposant des systèmes de protection individuelle qui permettent de sauver des vies.
Les systèmes collectifs ne nécessitent aucune formation supplémentaire. Les systèmes de retenue et les systèmes antichute exigent un niveau de compétence élevé, une formation et une inspection supplémentaire pour garantir une utilisation correcte.